Evaluation de la politique de certification professionnelle


L.Eslous et A.Magnier, avec le concours de P.Minaud, stagiaire (IGAS) – C.Gavini-Chevet et F.Bonnacorsi (IGAENR)

La politique publique de certification professionnelle, en France, a pour principal objet de définir les modalités selon lesquelles les diplômes et titres à finalité professionnelle ainsi que les certificats de qualification professionnelle élaborés par les branches professionnelles, sont définis, reconnus par les pouvoirs publics, portés à la connaissance du public et délivrés.
Depuis peu, elle contribue, en outre, à fixer les conditions de reconnaissance de certifications attestant la maitrise de compétences transversales exercées en situation professionnelle.
Cette politique est complexe et son rôle a été renforcé par la loi du 5 mars 2014 relative à la formation professionnelle, à l’emploi et à la démocratie sociale.

Dans le cadre de la modernisation de l’action publique (MAP), le Gouvernement a confié, en juillet 2015, une évaluation de la politique publique de certification professionnelle à l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS) et à l’Inspection générale de l’administration de l’éducation nationale et de la recherche (IGAENR).
Conformément au cadre retenu, la mission chargée de cette évaluation a produit dans un premier temps un « rapport de diagnostic », puis un rapport présentant des propositions de « scénarios de transformation » du système de certification professionnelle.

 Rapport de diagnostic – Tome 1
 Rapport de diagnostic – Tome 2 : annexes et pièces jointes
 Propositions de scénarios de transformation

 
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Avertissement

Certains acteurs du champ sanitaire sont actuellement sollicités au téléphone par des personnes se présentant comme des membres de l'IGAS, ou mandatées par ce service, pour obtenir des informations sur leurs activités et leur clientèle.

L'IGAS invite les personnes sollicitées à ne communiquer aucune information dans ces circonstances. Elles doivent savoir que les inspecteurs de l'IGAS ne procèdent pas à des investigations inopinées par téléphone et qu'ils ne s'adressent jamais de manière anonyme aux organismes qu'ils contrôlent ou auprès desquels ils recueillent des informations.