Evaluation des politiques de prévention des grossesses non désirées et de prise en charge des interruptions volontaires de grossesses suite à la loi du 4 juillet 2001


AUBIN Claire , JOURDAIN MENNINGER Danièle , CHAMBAUD Laurent ,
FRANCE. Inspection générale des affaires

Dans le cadre du programme annuel de travail de l’Inspection générale des affaires sociales pour 2008, la ministre de la santé et des sports a approuvé le lancement d’une mission d’évaluation des politiques publiques relative à la prévention des grossesses non désirées et à la prise en charge des interruptions volontaires de grossesse, suite à la loi du 4 juillet 2001. Le présent rapport de synthèse expose les principales conclusions de la mission. Il est accompagné de trois rapports thématiques qui approfondissent les questions ayant trait à la prise en charge des interruptions volontaires de grossesse, la contraception et la contraception d’urgence, l’éducation à la sexualité, l’information et la communication. S’y ajoute un rapport spécifiquement consacré aux départements et collectivités d’outremer compte tenu des problématiques particulières qui s’y attachent.

Lire le rapport de synthèse

Evaluation de la mise en oeuvre de la loi du 4 juillet 2001 relative à l’éducation à la sexualité, à la contraception et à l’interruption volontaire de grossesse en Outre-mer

La prévention des grossesses non désirées : contraception et contraception d’urgence

La prévention des grossesses non désirées : information, éducation et communication

La prise en charge de l’interruption volontaire de grossesse

 
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Avertissement

Certains acteurs du champ sanitaire sont actuellement sollicités au téléphone par des personnes se présentant comme des membres de l'IGAS, ou mandatées par ce service, pour obtenir des informations sur leurs activités et leur clientèle.

L'IGAS invite les personnes sollicitées à ne communiquer aucune information dans ces circonstances. Elles doivent savoir que les inspecteurs de l'IGAS ne procèdent pas à des investigations inopinées par téléphone et qu'ils ne s'adressent jamais de manière anonyme aux organismes qu'ils contrôlent ou auprès desquels ils recueillent des informations.